EXPOSITION · Bretagne du vendredi 27 juin au dimanche 6 juillet
ouvert de 10h à 18h les samedis et dimanches, sur RDV en semaine. Georges Bellut, Lucie Bonhomme, Jean-Marie Désiron, Patrick Le Gars, Nelly Redon, Alain Roth, Jean-François Tixier
27 juin 2025, 18:30
> Vernissage

Georges Bellut
Passionné par l’océan et ses habitants… il y a environ 25 ans j'ai commencé à créer des poissons, tout d'abord en bois trouvé de ci de là.... ensuite en châtaignier et métal de récupération, des petits, des très gros... la couleur est arrivée… et la création a continué et ne cesse de me faire des signes.

Lucie Bonhomme
Bretagne … ou l’infini spectacle magique de l’océan, du ciel, et du minéral qui se marient, s’inventent une discussion dans des tons uniques, si purs si intenses que chaque jour est un rêve.
Créer une aquarelle là-bas, c’est se poser, respirer, garder une trace du plaisir procuré par le ballet des vagues et des nuages.

Jean-Marie Désiron
J’ai découvert la Bretagne nord, et plus précisément sa côte, en parcourant le GR 34 il y a environ un an.
J’ai préparé et imprimé mes photographies en pensant aux images de Hugo Pratt, de Ji-Young Demol Park, de Matthieu Ricard et de Sebastiao Salgado.

Patrick Le Gars
Il aime cuisiner le fruit de ses pêches aux grandes marées, bigorneaux, étrilles, crevettes et autres crustacés mais une autre de ses spécialités est le gyotaku (poissons et Taku: empreinte, trace). Cette technique japonaise permet de réaliser une empreinte de poissons à base d'encre de seiche. Ce qui lui permet d’immortaliser ses plus belles prises. Et le pinceau n'est jamais très loin de ses rencontres gustatives et découvertes le long du littoral breton.

Nelly Redon
Je travaille la terre polie enfumée et l’argile brut. Pour les hippocampes, la terre est cuite ensuite avec beaucoup de braises et de copeaux. Le touché est ainsi rude et pourtant les yeux ne le transmettent pas. Je travaille peu les animaux marins et pourtant j'y trouve un plaisir absolu.

Alain Roth
Pays d’origine de ma grand-mère maternelle… j’ai commencé à fréquenter la Bretagne dans les années 50 en colo à Larmor-Pleubian où tels des pirates, nous nous lancions à l’abordage d’épaves abandonnées sur la plage.
Depuis, j’aime y retourner pour sentir et contempler la mer, ses ciels jamais pareils, et dénicher ces bateaux dont la mer et les hommes ne veulent plus, qui se meurent toujours plus à la marée montante au fond d’anses perdues. Pour cette exposition, j’ai ajouté quelques aquarelles, ce qui me permet d’aller à l’essentiel, cadrer un détail qui fait sens, pour mieux raconter l’histoire.

Jean-François Tixier
En trente années de vacances bretonnes, j’ai appris à aimer ce bout du monde. Je garde de mes premières vacances, un souvenir de ce jaune si particulier du beurre dans la baratte. Aussi j’ai décidé de « tartiner » mes images bretonnes de ce jaune si particulier, histoire de les rendre intemporelles.